« Plus de fric pour étudier » réclamaient ce 28 mars quelques milliers d’étudiants à travers notre pays. En contexte de crise, en écho aux mouvements étudiants québécois et chilien, ils dénonçaient les besoins criants de l’enseignement et plus fondamentalement prônait une vision bien particulière de l’éducation.Aujourd’hui, notre enseignement supérieur ...
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